Portraits, Lumières, Visages, Ambiances.
Nuits et Jours, Extérieurs et Intérieurs, Nets et Flous, Ombres et Lumières, Couleurs et Monochromes.
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François Michel nous entraîne dans ses divagations de photographe solitaire.
C'est en 2001 qu'il découvre la street photography et commence à arpenter les rues des villes, armé d'un appareil photo à la recherche d'images. Cette recherche est basée sur une conviction : le fait qu'un monde extraordinaire existe caché dans l'ordinaire, le fait que le quotidien recèle des trésors pour celui qui saura les regarder, le fait que la beauté est présente tout autour de nous et ne demande qu’à être révélée.
François Michel met en image ce qu’il trouve à portée de son objectif, le plus souvent de courte focale. Il ne voyage pas pour photographier; il photographie pour voyager et nous faire voyager. C’est autour de chez lui que ce photographe piéton cherche sa source d’inspiration.
Ingénieur, père de famille, François Michel savoure le temps qu’il peut consacrer à son art et essaie d’en extraire le maximum. C’est le plus souvent le soir qu’on le croise, près de chez lui à Pigalle. Il arrive également de l’apercevoir dans quelque destination lointaine, le plus souvent asiatique, arpentant la nuit les rues autour de son hôtel, ouvrant une parenthèse artistique sur ses déplacements professionnels.
Si on recherche ce qui caractérise le travail de François Michel, ce sont probablement les contrastes…
Noir et Blanc, Net et Flou, Ombre et Lumière, Clair et Obscure, Préparation et Improvisation, Technique et Empathie, Instantané et Mise en Scène, Réalité et Fantasme…
Ces forces complémentaires sont comme le Yin et le Yang qui insuffle l’énergie au travail de François Michel.
Ce travail puise sa force dans la maîtrise de la technique. Il l’a découverte jeune, en 1977, quand il a reçu pour son anniversaire un Minolta srT 100x, reflex 24x36 semi-automatique, c’est à dire manuel dans le référentiel d’aujourd’hui. Il s’est alors initié à la prise de vue et au tirage à l’agrandisseur. Ces bases du travail de photographe guident toujours son travail, à l’heure de la prise de vue numérique et du post traitement sur ordinateur.
Le travail de la lumière complète la technique photographique. Ce sont des éclairages travaillés qui caractérisent son travail. C’est en 2007, guidé par son mentor, Jean Turco, que François Michel commence un apprentissage minutieux des techniques d’éclairage en studio. Influencé par les maitres du clair-obscur, notamment le Caravage et Rembrandt, François Michel étudie sans relâche les possibilités infinies de mise en valeur de ses sujets. Cette passion perfectionniste pour les éclairages qui illumine sont travail en studio, les Rêveries, se prolonge et se développe dans les rues avec les Divagations.
Photographe de personnes, de portrait, de scènes de la vie quotidienne, François Michel se passionne pour la rencontre avec l’autre. Il pose un regard plein d’empathie et de sympathie sur les inconnus qu’il croise et met en lumière. Un regard bienveillant, pour partager ce qu’il voit de meilleur.
Il est adepte de la photographie subjective, photographiant à la première personne et imposant son regard au spectateur. François Michel nous montre la réalité telle qu’il la perçoit, telle qu’il la voit ou parfois telle qu’il l’imagine...